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On arrive à La Paz par le haut, par El Alto, la partie pauvre de la ville - à 4000m d'altitude - puis on descend dans la cuvette, vers le centre de la ville, 1000m plus bas. La descente et les vues sur la ville sont impressionantes.
Dès notre premier petit déjeuner à l'hôtel, on rencontre Petra (Tchèque). On sympathise rapidement avec elle et, une heure après, nous voilà dans un mini-bus qui nous emmène à l'Alto, pour retrouver une amie bolivienne à elle qui doit lui faire visiter el mercado 16 de noviembre, un des plus grands d'Amérique du Sud. On se joint à la visite guidée par Marisol, on dirait que tout El Alto est un marché géant, toutes les rues sont envahies de stands où on peut acheter tout ce dont on peut avoir besoin ou pas, fruits et légumes, mais aussi voitures et pièces détachées, outils, meubles, cd, dvd, animaux, vaisselles, vêtements, équipements de sport, instruments de musique... On se promène toute la matinée dans ce marché gigantesque qui dure du jeudi au dimanche... on a de la chance d'être guidés sinon on ne serait peut-être pas ressortis ! En tout cas on se serait perdus, c'est certain.
Le lendemain, c'est la première édition de la "Noche Blanca", la version bolivienne de la Nuit Blanche parisienne qui s'ajoute à la Biennale de La Paz. Spectacle de danse contemporaine au ministère de la culture et balade nocturne dans La Paz, toujours avec Petra, au gré des installations d'art contemporain. Drôle de décalage dans cette ville chaotique.
Et ensuite, on se promène dans les rues qui montent et qui descendent remplies de boutiques de souvenirs, on mange des "almuerzos" (menu du jour) assis avec des inconnus dans des petits restaurants pas chers, on boit de l'api, toujours aussi bon mais différent à chaque fois. On prend le temps de découvrir. Et Jana se fait piquer par une bête pendant la nuit, sa main gonfle beaucoup alors on va voir un medecin qui nous apprendra que c'est "una picadura", en français une piqûre... Merci docteur ! Heureusement ça dégonfle et on se remet en route.
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26 octobre au 1er novembre - La Paz
On arrive à La Paz par le haut, par El Alto, la partie pauvre de la ville - à 4000m d'altitude - puis on descend dans la cuvette, vers le centre de la ville, 1000m plus bas. La descente et les vues sur la ville sont impressionantes.
Dès notre premier petit déjeuner à l'hôtel, on rencontre Petra (Tchèque). On sympathise rapidement avec elle et, une heure après, nous voilà dans un mini-bus qui nous emmène à l'Alto, pour retrouver une amie bolivienne à elle qui doit lui faire visiter el mercado 16 de noviembre, un des plus grands d'Amérique du Sud. On se joint à la visite guidée par Marisol, on dirait que tout El Alto est un marché géant, toutes les rues sont envahies de stands où on peut acheter tout ce dont on peut avoir besoin ou pas, fruits et légumes, mais aussi voitures et pièces détachées, outils, meubles, cd, dvd, animaux, vaisselles, vêtements, équipements de sport, instruments de musique... On se promène toute la matinée dans ce marché gigantesque qui dure du jeudi au dimanche... on a de la chance d'être guidés sinon on ne serait peut-être pas ressortis ! En tout cas on se serait perdus, c'est certain.
Le lendemain, c'est la première édition de la "Noche Blanca", la version bolivienne de la Nuit Blanche parisienne qui s'ajoute à la Biennale de La Paz. Spectacle de danse contemporaine au ministère de la culture et balade nocturne dans La Paz, toujours avec Petra, au gré des installations d'art contemporain. Drôle de décalage dans cette ville chaotique.
Et ensuite, on se promène dans les rues qui montent et qui descendent remplies de boutiques de souvenirs, on mange des "almuerzos" (menu du jour) assis avec des inconnus dans des petits restaurants pas chers, on boit de l'api, toujours aussi bon mais différent à chaque fois. On prend le temps de découvrir. Et Jana se fait piquer par une bête pendant la nuit, sa main gonfle beaucoup alors on va voir un medecin qui nous apprendra que c'est "una picadura", en français une piqûre... Merci docteur ! Heureusement ça dégonfle et on se remet en route.
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Matia, Marisol et Petra
Costumes de danseurs des différents carnavals
Petra et une dame bolivienne qui a le sourire.
Charangos en carapaces (interdits maintenant)
Charangos
Zoom
Dezoom