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Jeudi 26 Mars, day-off à la ferme. Il pleut, on ne peut pas travailler, mais rien ne nous effraie, on sort les parapluies, les capuches et les bonnets et nous partons visiter les « waterfalls de Shiosenkyo ».
« On dirait le Vietnam » dit Mathias, « mais t'y es jamais allé » dit la petite voix dans sa tête, « ah... ». Des images que nous ne manquerons pas de comparer avec le Vietnam, en vrai dans un peu moins d'un mois maintenant.
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Dimanche 28 Mars, départ de la ferme. En route pour le Mont Fuji, dit Fuji-san, avant de prendre la route pour Kyoto. Après avoir admiré la montagne sacrée depuis nos échelles, à travers les arbres en fleurs et pendant les tea time, il était temps de s'en approcher. « Fuji-san est une fille timide ; quand tu essaye de la regarder, elle se cache », nous avait appris Kazu-san. Et c'est le cas. Brouillard et neige, journée blanche. Fuji-san se cache. On est à ses pieds, il doit nous observer mais ne se montre pas. Forcément déçus, nous nous contentons de regarder les pédalo-cygnes rose, vert ou jaune, de pique-niquer sous la neige, de l'observer par l'intermédiaire des photos, des cartes postales et autres boules à neige des boutiques de souvenirs.
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15 et 18 mars - Day off et tentative d'approche du Mt Fuji
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Jeudi 26 Mars, day-off à la ferme. Il pleut, on ne peut pas travailler, mais rien ne nous effraie, on sort les parapluies, les capuches et les bonnets et nous partons visiter les « waterfalls de Shiosenkyo ».
« On dirait le Vietnam » dit Mathias, « mais t'y es jamais allé » dit la petite voix dans sa tête, « ah... ». Des images que nous ne manquerons pas de comparer avec le Vietnam, en vrai dans un peu moins d'un mois maintenant.
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Dimanche 28 Mars, départ de la ferme. En route pour le Mont Fuji, dit Fuji-san, avant de prendre la route pour Kyoto. Après avoir admiré la montagne sacrée depuis nos échelles, à travers les arbres en fleurs et pendant les tea time, il était temps de s'en approcher. « Fuji-san est une fille timide ; quand tu essaye de la regarder, elle se cache », nous avait appris Kazu-san. Et c'est le cas. Brouillard et neige, journée blanche. Fuji-san se cache. On est à ses pieds, il doit nous observer mais ne se montre pas. Forcément déçus, nous nous contentons de regarder les pédalo-cygnes rose, vert ou jaune, de pique-niquer sous la neige, de l'observer par l'intermédiaire des photos, des cartes postales et autres boules à neige des boutiques de souvenirs.
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